Les jeux vidéo ne sont pas le principal moteur de comportements violents chez les jeunes. Les preuves scientifiques montrent une relation faible entre les jeux vidéo violents et la violence réelle. Les politiques devraient se concentrer sur d’autres facteurs de vulnérabilité, comme les violences familiales et les inégalités socio-économiques.
Quelques années plus tard, d’autres chercheurs américains reprennent les données d’Anderson pour effectuer une nouvelle analyse. Ils prêtent une attention particulière aux biais de publications, c’est-à-dire la tendance dans le monde scientifique à ne publier que les études dont le résultat présente un résultat marquant : dans ce cas, un lien délétère entre la pratique des jeux vidéo et les comportements violents.