Dans le vrai ou faux junior, la chercheuse Séverine Erhel met en garde sur les microtransactions dans certains jeux vidéo. Elle souligne le caractère artificiel du sentiment d’urgence induit par des offres limitées, conduisant à des achats impulsifs. Elle insiste sur la nécessité de différencier les jeux traditionnels des jeux avec microtransactions, qui peuvent contenir des « dark patterns », présentant des risques financiers, en particulier pour les jeunes vulnérables.
Il faut bien distinguer les jeux vidéo classiques, des jeux vidéo qui comportent des micro-transactions. Ce sont dans ces derniers que l’on retrouve les dark patterns, autrement dit des interfaces conçues pour nous pousser à dépenser de l’argent et ils peuvent poser problème, car ils induisent des risques monétaires chez les enfants et les adolescents, en particulier pour les plus vulnérables d’entre eux.