L’article d’Olivier Ertzscheid sur Affordance.info aborde l’évolution des moteurs de recherche avec l’intégration croissante de l’intelligence artificielle (IA), notamment la transition vers des « moteurs de réponses » plutôt que de simples moteurs de recherche. Ertzscheid met en garde contre les dangers de cette évolution, en soulignant la centralisation du savoir et la perte de diversité des sources. Il évoque également les enjeux éthiques et sociaux liés à cette transformation, tels que la dépendance croissante aux technologies de l’IA et la manipulation possible des informations, remettant en question notre capacité à naviguer de manière critique dans un environnement numérique dominé par des algorithmes.
Et c’est à ce moment là qu’à la question de savoir “qui est Olivier Ertzscheid ?” (ou n’importe qui / quoi d’autre), ces artefacts génératifs capitalisent sur ces errances. On a certes le droit de raconter n’importe quoi sur Olivier Ertzscheid (ou sur n’importe qui d’autre). Mais lorsque l’on est la fine fleur de l’IA a-t-on réellement le droit de produire de tels effets de halo algorithmiques ?